DU 17 AU 20 AOUT, TROIS ARTISTES VIENDRONT INVESTIR
LES FRONTS DE TAILLE DE LA KARRIERE POUR REALISER
DEUX NOUVELLES FRESQUES !

MISSY

Originaire de Strasbourg, Missy étudie les arts appliqués puis la communication visuelle.
Elle cultive son monde peuplé de drôles d’oiseaux et de plantes luxuriantes parfois méconnues.
Elle troque volontiers son nuancier de couleurs pour une palette de points et de hachure à l’encre.
Des touches de couleurs et des jeux graphiques se mêlent parfois aux oiseaux et aux plantes pour faire de ces murs gris une palette colorée et joyeuse.
Du papier aux fresques murales, de la risographie au textile, ces supports font partie intégrante de son travail.

STOM500

Stom 500 a commencé à dessiner lorsqu’il était gosse et ce plaisir de tenir un crayon ou aujourd’hui le spray ne l’a jamais quitté. Artiste, illustrateur ou encore artiste graffiti, ce Strasbourgeois n’a pas de support de prédilection mais juste la passion de pousser sa technique le plus loin possible.
Stom 500 est un accro des détails dont le trait s’inspire simplement de ses cartoons préférés ou de son quotidien. Ses scènes burlesques nous racontent des histoires portées par un style graphique percutant et très coloré. Un entremêlement de personnages, d’animaux et autres objets surgissent les uns des autres, découpés et mixés de manière joyeuse et optimiste.

HYDRANE

Née à paris, Hydrane y vit et y travaille actuellement
Après avoir été diplômée architecte à l’école de Paris-Belleville en 2015, elle décide de developper son style dans l’espace urbain.
Elle débute ses premiers murs au Brésil aux côtés de Babs des UV-TPK puis continue de retour en France en mars 2017 aux côtés de Stoul.
Son style prend forme de facon automatique et instinctive. Ce language graphique et abstrait peut expliquer les mouvements, les différentes énergies et périodes de la vie. Nourri de détails, il reste une énigme pour son propre créateur. Plus tard, elle part chercher dans ses racines péruviennes, dans l’histoire précolombienne et lui font découvrir que les formes dessinées dans le désert de Nazca et tout l’art primitif sud-américain ont des traits communs avec ses creations. Une forme d’archeologie de soi. Abstrait et énigmatique, commence alors un travail entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, l’échelle visuelle nous échappe pour nous remettre à notre propre con science d’être humain, poussière de l’univers.

VENEZ ECHANGER AVEC EUX !

JEUDI 17 – VENDREDI 18 – SAMEDI 19 AOUT : 18H à 19H

DIMANCHE 20 AOUT : 16H à 18H